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234 plaques correspondant à vos critères
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Fondation de Port Colborne, la
En 1831, la Welland Canal Company choisit la baie Gravelly comme terminus sud de sa voie navigable reliant les lacs Ontario et Érié et, en 1833, elle demande au lieutenant-gouverneur Sir John Colborne la permission de nommer le site « Port Colborne ». L'honorable William H. Merritt, président de la Canal Company, fait aménager des rues des deux côtés du canal en 1834 et, avec plusieurs partenaires, construit un moulin à blé en 1835. Au... -
William Hamilton Merritt, 1793-1862
Né à Bedford, dans l'Etat de New York, William Merritt, un pionnier dans le domaine des transports, s'installe en 1796 à Twelve Mile Creek (St. Catharines) avec sa famille loyaliste. Membre de la cavalerie provinciale Durant la Guerre de 1812, il exploite ensuite un commerce et une meunerie. On lui doit la construction du premier canal Welland (1824-1833), enterprise à laquelle il travaille sans relâche pour réunir des fonds et obtenir l'appui du gouvernement. Pendant... -
Fondation de St. Catharines, la
Avant que cette région ne soit colonisée, plusieurs sentiers indiens se croisaient ici à un gué du ruisseau Twelve Mile. Ils furent améliorés par les premiers colons et une église fut érigée au carrefour en 1798. Une taverne suivit rapidement, puis un établissement, connu sous le nom de St. Catharines ou Shipman's Corners, se développa. Après la guerre de 1812, la communauté se développa en grande partie grâce aux efforts de William Hamilton Merritt. Il... -
Louis Shickluna, 1808-1880
Remarquable constructeur de navires canadien, Shickluna naît à Malte, où il travaille avant d’émigrer en Amérique du Nord. En 1835, il s’engage dans la construction de navires à Youngstown, dans l’État de New York. Trois ans plus tard, l’augmentation du trafic découlant de la construction du canal Welland en 1833 l’encourage à acheter un chantier naval au bord de celui-ci, à St. Catharines. Shickluna ne cessera de développer ses activités, qui contribueront largement à la... -
Premier canal Welland, 1824-1833, le
L'écluse numéro 6 du canal Welland d’origine se trouve dans le cours d'eau adjacent, à environ 700 pieds au sud-ouest d'ici. Ce premier canal ou canal « en bois », construit de 1824 à 1833 par la Welland Canal Company, va de Port Dalhousie, sur le lac Ontario, à Port Colborne, sur le lac Érié. William Hamilton Merritt en est le principal promoteur. Grâce à l'ouverture du canal jusqu'à Port Robinson en 1829, les bateaux... -
Fondation de Thorold, la
Pendant la construction du canal Welland d’origine, de 1824 à 1829, un certain nombre de collectivités virent le jour le long du canal. Ici, sur des terres appartenant à George Keefer, un village connu sous le nom de Thorold s'était développé en 1828. Un grand moulin à farine fut construit sur le canal et le bureau de poste du canton de Thorold fut déplacé de Beaverdams au nouvel établissement par Jacob Keefer. En 1831, deux... -
Fondation de Port Robinson, la
Port Robinson, le terminus sud du canal Welland d’origine, ouvert en 1829, est nommé en l'honneur de John Beverley Robinson, juge en chef du Haut-Canada. Le village se développe rapidement lorsque des centaines d'immigrants irlandais travaillent sur le « Deep Cut » entre Allanburg et ce site. Une compagnie de soldats noirs stationnée ici vers 1843-1851 fait respecter l'ordre le long du canal. Port Robinson profite des fréquentes améliorations apportées au canal, et le commerce... -
Route de canot du Michipicoten, la
Avec les rivières Missinaibi et Moose, la rivière Michipicoten, située à proximité, constituait un maillon important de la route de canot faisant le lien entre le lac Supérieur et la baie James. Cette route a vraisemblablement été explorée très tôt par les commerçants de fourrures français, qui tenaient un poste à Michipicoten. Toutefois, les premiers passages attestés n’auront pas lieu avant les années 1770, lorsque la Compagnie de la Baie d’Hudson commence à établir des... -
« Oiseaux jaunes » de l'Ontario, les
En 1924, Ie gouvernement ontarien crée un service d'aviation pour remplacer les services de détection des feux de foret en canoë et à pied. Ces avions jaunes et noirs sont surnommés les « oiseaux jaunes ». Basés à Sault-Ste-Marie, ils servent à la détection des incendies, au transport des pompiers et du matériel et, après l'invention des avions-citernes dans les années 1950, à combattre les feux de forêt. Au fil des ans, Ie service contribue... -
Premier chantier naval du lac Supérieur, le
Le premier navire à pont ayant navigué sur le lac Supérieur est construit près de ce site, à Pointe aux Pins, en 1734-1735. Louis Denis, sieur de la Ronde, s’en sert lors d’une tentative infructueuse d’ouvrir des mines de cuivre sur la rive sud du lac. Alexander Henry, l’un des principaux marchands de fourrures aux premiers temps du régime britannique, construit une barge de 14 tonnes en 1770 et met à l’eau un sloop de 40 tonnes en août 1772. Ces navires assurent le transport de fournitures vers une mine de cuivre temporaire exploitée par Henry et ses associés près de Point Mamainse.
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Route trans-canadienne, la
Cette plaque se trouve à mi-chemin de la route transcanadienne qui relie St. John’s (Terre-Neuve) à Victoria (Colombie-Britannique). En 1949, le Parlement fédéral autorise sa construction, en collaboration avec les provinces. Le 3 septembre 1962, cette route de 4 859 milles de long, dont environ 1 453 milles en Ontario, est officiellement inaugurée pour la circulation de transit. Toutefois, un tronçon de la route 11 entre Longlac et Hearst construit en 1944 permet déjà de... -
Fondation de Cochrane, la
Depuis des siècles le site occupe par Cochrane servait de camp d'ete aux Amerindiens. Plus tard, il devient une escale sure la route de la traite des fourrures vers Moose Factory. En 1907, le Temiskaming and Northern Ontario Railway (qui deviendra l'Ontario Northland) choisit le campement des petits lacs comme point de jonction avec la National Transcontinental (qui deviendra le Canadien National). La ville est nommee en l'honneur du ministre provincial des Terres, Forets et... -
Fondation de Sudbury, la
La création d'un camp de travailleurs du chemin de fer Pacifique Canadien en 1883 stimula la croissance d'une communauté de pionniers. En un an, une colonie animée et composée de pensions, de magasins et d'un hôpital s'était développée. Bien qu'elle souffrit de revers temporaires en 1885 lorsque les équipes de pose de la voie se déplacèrent vers l'Ouest, Sudbury se releva rapidement. Située dans une région riche en ressources forestières et minières, la colonie devint... -
Poste du lac Whitefish, le
En 1824, la Compagnie de la Baie d'Hudson avait déjà établi un poste de traite des fourrures sur la rive occidentale du lac Whitefish. Le poste était situé près du chemin de portage menant au lac Wakami dans le but d'empêcher les marchands de fourrures indépendants venant du Michigan, du Wisconsin et du sud de l'Ontario d'empiéter sur la traite au nord de la rivière des Français. En 1887, la Compagnie démantèle le poste et... -
Dernier crampon du lac Feist, le
Dans les années 1870, le Canada se devait de pouvoir gagner par un moyen de transport fiable et entièrement canadien les territoires de l'ouest - les Prairies - acquis en 1869. Ayant promis une liaison ferroviaire avec la Colombie-Britannique, le gouvernement fédéral entreprend, dès 1875, la construction d'un chemin de fer entre Thunder Bay et Red River. Il faut sept ans pour achever les six cents kilomètres. Des milliers d'ouvriers, bravant moustiques et mouches noires... -
Premières lignes aériennes du Canada, les
En février 1926, J.V. Elliot et Harold Farrington, aux commandes chacun d'un Curtiss JN-4 « Jenny », effectuèrent le premier d'une série de vols de passagers entre ici et le district minier isolé de Red Lake. Le mois suivant, un Curtiss « Lark » piloté par H.A. (« Doc ») Oaks inaugura un service régulier entre Sioux Lookout et Red Lake. En décembre, Oaks mit sur pied la Western Canada Airways, dont les avions étaient... -
Exploration d'Umfreville, 1784, l'
Le marchand de fourrures Edward Umfreville passe par ce lieu en juillet 1784. Il est chargé par la Compagnie du Nord-Ouest de trouver une autre voie que la route traditionnelle en canoë vers l’ouest, via le Grand Portage et la rivière Pigeon, passée sous contrôle américain. Quittant le lac Supérieur, il remonte la rivière Nipigon et se dirige vers l’ouest à partir du lac Nipigon en empruntant un parcours complexe qui comprend la rivière Wabinosh... -
Fondation de Sturgeon Falls, la
L'historie de Sturgeon Falls commence en 1881 avec l'arrivée d'équipes d'ouvriers employés à la construction du chemic de fer du Canadien Pacifique et avec l'ouverture d'un bureau de poste. Environ un an auparavant, le premier colon resident, James Holditch, avait acheté une terre en bordure de la riviére Sturgeon, à quelque deux miles au nord-est d'un ancien poste de la Compagnie de la Baie d'Hudson, don't it fit plus tard l'acquisition. La construction de scieries... -
Navigation à vapeur sur la rivière Magnetawan, la
Premier bateau à vapeur à voguer sur la rivière Magnetawan, le Pioneer, qui mesure 34 pieds de long, est construit en 1879 pour couvrir la distance de 20 milles qui sépare Burk’s Falls de Magnetawan. La construction en 1886 d’une écluse à Magnetawan permet aux bateaux à vapeur de parcourir 10 milles supplémentaires pour atteindre Ahmic Harbour. D’autres bateaux à vapeur entreront en service, parmi lesquels le Wenonah (1886), le Glenrosa (1891), le Wanita (1896)... -
Écluse de Magnetawan, l'
Construite par le gouvernement de l’Ontario entre 1883 et 1886, l’écluse de Magnetawan est remplacée en 1911 par l’actuelle structure en béton. À l’origine, l’écluse était faite de caissons de bois remplis de roches et mesurait 112 pieds par 28. Elle permettait aux bateaux à vapeur de franchir une dénivellation d’environ 10 pieds et ainsi de circuler entre Ahmic Harbour, à 10 milles en aval de Magnetawan, et Burk’s Falls, à 20 milles en amont... -
Fondation de Parry Sound
Vers 1857, James et William Gibson construisirent une scierie à l'embouchure de la rivière Seguin. William Beatty, avec ses fils James et William, acquirent la scierie en 1863, et l'année suivante, ils obtinrent un permis d'occupation pour quelque 2 000 acres. En plus de l'exploitation forestière, ils firent le tracé d’un lotissement, encouragèrent la colonisation, ouvrirent un magasin, bâtirent une église, construisirent des routes et exploitèrent des bateaux sur le lac Huron et un service... -
Portage Mountain, le
Ce portage contournant les chutes Kakabeka fait partie de la route de canot historique de la Kaministiquia, qui relie le lac Supérieur au lac des Bois et à l’Ouest. Documenté pour la première fois en 1688 par l’explorateur français Jacques de Noyon, il sera abandonné au profit d’un itinéraire plus court passant par le portage Grand et la rivière Pigeon. Cet itinéraire sera assujetti au contrôle américain à la suite du traité de 1783 et... -
Camps routiers pour les Japano-Canadiens 1942-1944
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement fédéral évacue de force les Canadiens d'origine japonaise de la côte de la Colombie-Britannique. Au printemps 1942, plusieurs centaines de jeunes hommes sont envoyés en Ontario pour aider à construire la route transcanadienne. Ils sont logés dans quatre camps entre Schreiber et Jackfish. La plupart d'entre eux ne tardent pas à quitter les camps routiers pour travailler dans les fermes, les scieries et les fabriques de... -
Route vers l'Ouest du CP, la
En juin 1875, le premier coup de pioche de la ligne du Chemin de fer Canadien Pacifique reliant la Tête-des-Grands-Lacs à l’Ouest est donné à Fort William. Un contrat gouvernemental de cette année-là prévoit la construction d’une ligne au nord-ouest vers le lac Shebandowan. En 1882, le gouvernement achève le chemin de fer de Fort William à Winnipeg, tandis que la Compagnie de chemin de fer Canadien Pacifique, constituée en société en 1881, prolonge, entre... -
Portage de Great Dog, le
Ce portage était l'un des plus escarpés du parcours de canotage Kaministiquia entre le lac Supérieur et l'Ouest. Consigné pour la première fois en 1688 par l'explorateur français Jacques de Noyon, il fut abandonné après 1732 en faveur du parcours plus court et plus facile de portage Grand – rivière Pigeon. Ce dernier passa sous contrôle américain après le traité de 1783, et vers 1803, le trafic reprit sur l'ancien parcours. D'une longueur de plus...