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141 plaques correspondant à vos critères
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Poste du lac Whitefish, le
En 1824, la Compagnie de la Baie d'Hudson avait déjà établi un poste de traite des fourrures sur la rive occidentale du lac Whitefish. Le poste était situé près du chemin de portage menant au lac Wakami dans le but d'empêcher les marchands de fourrures indépendants venant du Michigan, du Wisconsin et du sud de l'Ontario d'empiéter sur la traite au nord de la rivière des Français. En 1887, la Compagnie démantèle le poste et... -
Château White Otter
Jimmy McOuat, bûcheron, achève cette maison en 1915 à l'âge de soixante ans. On s'est toujours demandé pourquoi il l'a construite et comment. Il raconte que, lorsqu'il était enfant dans la vallée des Outaouais, on l'a rabroué un jour en disant : « Tu ne feras jamais rien de bon dans la vie! Tu mourras dans une cabane ». Vers la fin de sa vie, il décide donc d'éviter ce sort. À lui tout seul... -
En janvier 1907, une équipe de hockey de Kenora, composée de E. Giroux (but), A.H. Ross (pointe), S.I. Griffis (première défense), T. Hooper (maraudeur), W. McGimsie (centre), R. Beaudro (ailier droit) et T. Phillips (capitaine et ailier gauche), battit les Wanderers de Montréal en deux matchs de défi à Montréal pour remporter la Coupe Stanley. L'équipe était entraînée et formée par J.A. Link. Le trophée, emblématique du championnat canadien, avait été offert par le gouverneur général, le baron Stanley de Preston, en 1892. Kenora est la plus petite ville à avoir remporté la Coupe.
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Expédition de Wolseley, 1870, l'
En août 1870, une troupe de réguliers britanniques et de miliciens canadiens comprenant quelque 1 200 hommes commandés par le colonel Garnet Wolseley arrive dans cette région en route vers la rivière Rouge pour établir l’autorité canadienne dans l’actuelle province du Manitoba. L’année précédente, la Compagnie de la Baie d’Hudson accepte de transférer le contrôle de ses territoires occidentaux au Canada, et certains habitants de la région, craignant de perdre leurs terres et de voir... -
Dernier crampon du lac Feist, le
Dans les années 1870, le Canada se devait de pouvoir gagner par un moyen de transport fiable et entièrement canadien les territoires de l'ouest - les Prairies - acquis en 1869. Ayant promis une liaison ferroviaire avec la Colombie-Britannique, le gouvernement fédéral entreprend, dès 1875, la construction d'un chemin de fer entre Thunder Bay et Red River. Il faut sept ans pour achever les six cents kilomètres. Des milliers d'ouvriers, bravant moustiques et mouches noires... -
Red Lake House
À l'été de 1790, la Compagnie de la Baie d'Hudson envoie James Sutherland, de la maison d'Osnaburgh, établir un poste au lac Rouge. Duncan Cameron, de la Compagnie du Nord-Ouest, y fait déjà la traite. Bien que la concurrence dans la traite des pelleteries soit intense, parfois même violente, les négociants du lac Rouge entretiennent de bonnes relations. En 1806, la Compagnie ferme le poste qui avait été réaménagé à cinq reprises autour du lac... -
Fondation du district minier de Red Lake, la
En 1924, deux ans après la découverte d'or par Gus McManus, le ministère des Mines de l'Ontario publia un rapport géologique sur ce district. La prospection fut donc encouragée et, en 1925, des concessions furent jalonnées par Lorne Howey et George McNeely. Financée par les efforts de Jack Hammell, Howey Gold Mines fut constituée en société en 1926, et la production commença en 1930. Ses activités cessèrent en 1941, mais des mines prospères furent mises... -
Premières lignes aériennes du Canada, les
En février 1926, J.V. Elliot et Harold Farrington, aux commandes chacun d'un Curtiss JN-4 « Jenny », effectuèrent le premier d'une série de vols de passagers entre ici et le district minier isolé de Red Lake. Le mois suivant, un Curtiss « Lark » piloté par H.A. (« Doc ») Oaks inaugura un service régulier entre Sioux Lookout et Red Lake. En décembre, Oaks mit sur pied la Western Canada Airways, dont les avions étaient... -
Exploration d'Umfreville, 1784, l'
Le marchand de fourrures Edward Umfreville passe par ce lieu en juillet 1784. Il est chargé par la Compagnie du Nord-Ouest de trouver une autre voie que la route traditionnelle en canoë vers l’ouest, via le Grand Portage et la rivière Pigeon, passée sous contrôle américain. Quittant le lac Supérieur, il remonte la rivière Nipigon et se dirige vers l’ouest à partir du lac Nipigon en empruntant un parcours complexe qui comprend la rivière Wabinosh... -
Moulin de Kawagong 1925
Ce bâtiment est un monument à deux importantes industries primaries de l'Ontario. Construit pour transformer les épinettes des forêts voisines en pâte, il tire l'énergie hydraulique de la riviére Kagawong pour actionner ses grosses machines. La pâte mouillée est mise en balles et expédiée au Michigan pour la production des catalogues Sears-Roebuck. Le Moulin à pâte ferme ses portes dès le début de la Crise, mais rouvre en 1932 comme centrale hydro-électrique. C'est la seule... -
Poste de la Compagnie de la Baie d'Hudson, 1856, le
En 1856, la Compagnie de la Baie d'Hudson, confrontée au déclin du commerce à La Cloche sur le continent, obtint la permission d'établir un poste à Little Current. Le premier important bâtiment en rondins européen de cette communauté fut construit près d'ici en 1856-1857 par George McTavish, le commis responsable de La Cloche. Cependant, l'opposition de certains Indiens et missionnaires résidents à ce qu'ils considéraient être comme un empiètement sur la réserve amena le gouvernement... -
Mission Manitowaning, la
Dans les années 1830, les autorités pressent les Autochtones du Haut-Canada d'abandonner leurs migrations saisonnières pour la chasse et la pêche et de s'établir de façon permanente dans les collectivités agricoles. Dans ce but, le gouvernement établit, en 1838, sous les auspices de l'Église anglicane, une mission à Manitowaning. On construit alors une école, des maisons et des ateliers d'apprentissage. La mission encourage l'agriculture, mais les récoltes sont maigres. Peu d'Autochtones choisissent de s'établir définitivement... -
Cratère de Brent, le
Reconnu pour la première fois en 1951 sur des photographies aériennes, le cratère est une dépression circulaire d’un diamètre d’environ deux milles formée dans des roches cristallines précambriennes. Des études géophysiques et des forages au diamant montrent que le cratère a une profondeur actuelle d’environ 1 400 pieds, mais qu’il est partiellement rempli de roches sédimentaires d’une épaisseur de 900 pieds. Les roches sous le plancher du cratère sont complètement fragmentées sur une profondeur de... -
Grey Owl, 1888-1938
Pendant sa jeunesse en Angleterre, Archibald Belaney est captivé par les animaux sauvages et les histoires d'Amérindiens. Il arrive au Canada à dix-sept ans et commence bientôt à vivre avec les Ojibwés dans l'île Bear. Il adopte les moeurs et l'habillement des autochtones et travaille comme bûcheron, garde forestier et trappeur dans le nord-est de l'Ontario. Dans les années 1920, Belaney s'inquiète des ravages que causent dans le Nord l'industrie forestière et les chasseurs et... -
Jean Nicollet de Belleborne c.1598-1642
Nicollet arrive en Nouvelle-France de sa Normandie natale en 1618-1619 pour s'adonner à la traite des fourrures. Samuel de Champlain envoie Nicollet vivre dans un camp algonquin pendant deux ans pour établir des alliances avec les Amérindiens. Le jeune Français vient ensuite dans les environs où il vit huit ans avec les Népissingues. Il apprend la langue et les coutumes de ses hôtes, gagne leur confiance et agit comme interprète dans leur commerce avec les... -
Poste de Temagami, 1834, le
Le premier poste de la Compagnie de la Baie d’Hudson sur le lac Timagami est installé en 1834 sur la rive sud de l’île Timagami, sous la direction du traiteur en chef Richard Hardisty, le beau-père du baron Strathcona. Il s’agit essentiellement d’un avant-poste de la plus grande installation de la Compagnie sur le lac Témiscamingue, dans la vallée de l’Outaouais. Le poste de Temagami (à l’origine Timagami) n’est pas un grand centre de commerce... -
Fondation de Sturgeon Falls, la
L'historie de Sturgeon Falls commence en 1881 avec l'arrivée d'équipes d'ouvriers employés à la construction du chemic de fer du Canadien Pacifique et avec l'ouverture d'un bureau de poste. Environ un an auparavant, le premier colon resident, James Holditch, avait acheté une terre en bordure de la riviére Sturgeon, à quelque deux miles au nord-est d'un ancien poste de la Compagnie de la Baie d'Hudson, don't it fit plus tard l'acquisition. La construction de scieries... -
Navigation à vapeur sur la rivière Magnetawan, la
Premier bateau à vapeur à voguer sur la rivière Magnetawan, le Pioneer, qui mesure 34 pieds de long, est construit en 1879 pour couvrir la distance de 20 milles qui sépare Burk’s Falls de Magnetawan. La construction en 1886 d’une écluse à Magnetawan permet aux bateaux à vapeur de parcourir 10 milles supplémentaires pour atteindre Ahmic Harbour. D’autres bateaux à vapeur entreront en service, parmi lesquels le Wenonah (1886), le Glenrosa (1891), le Wanita (1896)... -
Lac Nipissing, le
Lorsque les formations glaciaires commencent à se retirer de la région pour la dernière fois vers 9000 av. J.-C., le bassin de Nipissing forme une extension orientale de la baie Georgienne. L’affaissement du terrain causé par le poids de la glace permet aux eaux du bassin préhistorique des Grands Lacs supérieurs de s’écouler vers la vallée de l’Outaouais. L’écoulement vers l’est cesse autour de 2000 av. J.-C en raison de l’élévation progressive du niveau des... -
Écluse de Magnetawan, l'
Construite par le gouvernement de l’Ontario entre 1883 et 1886, l’écluse de Magnetawan est remplacée en 1911 par l’actuelle structure en béton. À l’origine, l’écluse était faite de caissons de bois remplis de roches et mesurait 112 pieds par 28. Elle permettait aux bateaux à vapeur de franchir une dénivellation d’environ 10 pieds et ainsi de circuler entre Ahmic Harbour, à 10 milles en aval de Magnetawan, et Burk’s Falls, à 20 milles en amont... -
Fondation de Parry Sound, la
Vers 1857, James et William Gibson construisirent une scierie à l'embouchure de la rivière Seguin. William Beatty, avec ses fils James et William, acquirent la scierie en 1863, et l'année suivante, ils obtinrent un permis d'occupation pour quelque 2 000 acres. En plus de l'exploitation forestière, ils firent le tracé d’un lotissement, encouragèrent la colonisation, ouvrirent un magasin, bâtirent une église, construisirent des routes et exploitèrent des bateaux sur le lac Huron et un service... -
Maison du Lac La Pluie, 1818-1903
La Compagnie de la Baie d'Hudson ouvre ici la Maison du lac la Pluie dans le but de rivaliser avec la Compagnie du Nord-Ouest qui exerce le commerce des fourrures à son Fort du lac la Pluie. Après la fusion des deux compagnies, en 1821, seule la Maison du lac la Pluie reste ouverte. En 1830, elle est rebaptisée Fort Frances, après une visite du gouverneur de la compagnie, Sir George Simpson, et de Lady... -
Jacques de Noyon, 1668-1745
Coureur de bois, Jacques de Noyon est né à Trois-Rivières et élevé à Boucherville près de Montréal. En 1688, il dirige un groupe de trait au nord du lac Supérior et pénètre plus à l'Ouest que tout autre Français de l'époque. Il remonte la rivière Kaministiquia, traverse le lac du Chien et, après plusieurs portages, atteint le lac à la Pluie. Il établit un poste près de Fort Frances sur la rivière à la Pluie... -
Quetico-Superior
Région sauvage aux paysages d'une beauté inégalée, Quético-Supérieur est une partie de la province qui attire depuis longtemps les ecologists et les amateurs de loisirs en plein air. Au début du siècle, l'intérêt du public pour la protection de la nature et des activités en plein air dans le basin du lac à la Pluie résulta en la création, en 1908, de la forêt nationale du lac Supérrieur, de la Minnesota Game Reserve, et de... -
Louis Hémon, 1880-1913
L'auteur du roman “Maria Chapdelaine†, Hémon naquit à Brest. Il quitta la France en 1911 et vécut huit mois dans la région québécoise du Lac St-Jean. C'est à l'époque où il travaillait comme ouvrier agricole près de Péribonka, qu'il écrivit ce roman bien connu, retraçant la vie des pionniers. Loué par les critiques littéraires en France, ce roman fut traduit en anglais et en d'autres langues. Les versions françaises et anglaises furent vendues à...